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Skugga A. Evans

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AuteurMessage
Envy
Messages : 20
Magical Power : 69
Date d'inscription : 23/06/2014
Age du personnage : 25
Admin
Envy
MessageSujet: Skugga A. Evans Skugga A. Evans EmptyJeu 16 Avr - 21:52



Skugga Alejandro Evans


LUI EN BREF


Nom
Evans

Prénoms
Skugga Alejandro

Age
14 ans

Classe
Classe A

Année
3 ème

Nationalité
Suédo-Italien

Langues
Suédois - Italien - Anglais

Signe(s) distinctif(s)
Extra-souple

Pouvoir
Contrôle des Os

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I've Got A Power. I Can See UR Bones, Can U Feel It ?

Contrôle des Os — Ce pouvoir particulier permet à Skugga la maîtrise totale de ses os. Il peut les rendre aussi durs que la roche, aussi fragiles qu'une brindille selon ses envies ou ses besoins. Quand à son niveau de maîtrise, il peut, pour l'instant, faire sortir ses os de son corps. Là, vous vous dîtes "Trop coool ! Mais c'est cheat comme pouvoir !" Et bien vous vous trompez lourdement. Il ne peut pas faire sortir tout les os de son corps, au risque de finir comme un chewin-gum par terre. La régénération osseuse, automatique chez lui, demande une énergie considérable. En plus, il n'y avait pas "Anti-douleur" comprit dans le pack. Bon, une fracture met seulement une semaine à se résorber complètement à condition, bien sûr, qu'elle ai été réduite. En gros, qu'il ai remit et maintenu l'os en place lors de la reconstruction. Sinon, CRACK ! Il est obligé de le casser une fois de plus pour lui permettre de se ressouder correctement. Il l'a fait une fois et à bien retenu la leçon. D'ailleurs, pourquoi une fracture mettrait-elle plus de temps à se résorber qu'un os à se récréer ? tout simplement car il contrôle la solidité et la croissance, mais qu'une fracture ne viendra pas de lui à proprement parler, son pouvoir ne lui permettant pas de casser ses os de façon directe. De ce fait, les bleus ne se résorbent pas non plus. Et ouai, c'est contrôle des os, pas guérison ici !
En revanche, son pouvoir trouve appui sur sa connaissance de l'anatomie. Si il veut pouvoir faire sortir un os, il faut bien qu'il le connaisse ! Il arrive à imaginer le squelette d'une personne après l'avoir bien observé. Parfois, il arrive même à le dessiner.
Vous avez parlé de radio ?
What's fuck*ng wrong with you ?!

Studieux - Arrogant - Egoïste - Méchant - Franc - Moqueur - Insolent - Irrespectueux - Malicieux - Taquin - Gamin - Vif - Sportif - Intelligent - Discret - Loyal
Tous, autour de lui, dans ce couloir où il attend après l'évaluation de son pouvoir (qui c'est d'ailleurs excellemment bien passée), le voient comme un garçon serviable, avec une lueur vive dans le regard. Quelqu'un de calme et de concentré. A l'apparence studieuse aussi.

« Pourtant, il a toujours ce petit quelque chose dans ses mouvements. Un truc vif. Trop vif pour qu'il soit ce qu'il prétend être. »
Jayn, ex-camarade de classe à Kiruna.

Et Jayn avait de l'instinct quand son professeur avait demandé à ses camarades de le décrire lors d'un exercice.«Comme un chat. Il paraît doux mais...» Mais au moindre mouvement, il sort les griffes. Et c'est bel et bien le cas. Sportif, il est bien loin du cliché du petit intello maigrichon. Il aime le sport, il aime sentir ses muscles se contracter (même si ceux-ci on tendance à se faire désirer, niveau apparence).
Et ce qu'il aime encore plus, c'est se battre. Pour lui, la violence est la réponse la plus appropriée quand il faut trop de mots pour argumenter. Et plutôt être violent que lâche. Car bien qu'égoïste, il est loyal envers les personnes qu'ils aiment.
Niveau amour, il en est encore au point zéro. Que ce soit pour les filles ou les garçons. Il n'a d'ailleurs aucunes préférences en ce genre, prétextant ne pas s'y connaître assez pour choisir. Il s'agit d'un des seuls points qu'il n'attaque pas lorsqu'il devient violent verbalement. Une certaine ouverture d'esprit ? A vous de juger.
Vif, sous cette facette de premier de la classe, se cache un garçon arrogant, égoïste, méchant et moqueur. On y trouve aussi un gamin malicieux et taquin finalement un peu déséquilibré et perdu . Mais si il arrive à le cacher aux autres, c'est bien parce qu'il sait être discret mais aussi, qu'il est intelligent. Très.
En plus d'avoir une mémoire étonnamment efficace lorsqu'il s'agit de retenir la structure osseuse, il lui arrive parfois de dessiner le squelette d'une personne qui l'a marqué, avec des anomalies souvent, pour le comprendre toujours mieux. Car il le sait. Il sait comment fonctionne les os mieux que personnes.
Pour quitter ce sujet morbide, il aime la neige et les animaux, avec qui il entretient bien souvent d'excellentes relations. Sa citation favorite ? "L'Homme est un loup pour l'homme." Alors autant traîner avec les loups, tes petits préférés.
Il aimes aussi la musique. D'ailleurs, il joue lui même de la basse, un instrument au son grave et profond qui le fait vibrer. Niveau style, tout lui va du moment que cela résonne au fond de lui.
Il aime la Chimie, la Biologie et les langues. Trifouiller les ordinateurs fait partit de ses hobbys, bien qu'il préfère lire ou sortir dehors.
Il aime les chats et les fraises. Il aime aussi danser, faire du volley ou même tout simplement, des étirements. Il pourrait d'ailleurs passer des heures à dormir en se réveillant uniquement pour s'étirer un peu.
Il est friand d'énigmes et trouve un certain plaisir à les résoudre seul.
Et seul, il l'est. Car il est méchant, et franc au passage.
Il soupire quand on lui parle, passe sa main dans sa nuque et baille quand on l'ennuie. Et par dessus tout, il est irrespectueux et insolent.
Donc personne ne lui parle vraiment. Il est trop désagréable. De toute façon, "C'est seul qu'on avance." dit-il souvent.
La guerre des classes est un contexte parfait pour lui. Il pourra ainsi semer la zizanie en douce et ne jamais te faire soupçonner.
Aaah, soudainement, il l'aime sa fausse carapace d'intello !
En fait, a part ses notes et son pouvoir, tout le prédestinait à aller chez les E.
Mais ces mêmes notes et ce même pouvoir compte tellement qu'il se retrouve assigné aux A.
Et il se demande bien comment ils sont, ces A...
Ashes to ashes, dust to dust...


Cheveux rebelles mi-longs Noir de Jais - Yeux en amande Terre de Sienne (marron chaud orangé/rougeâtre) - Peau hâlée - 1 m 64 - Poids léger - Souple (très souple) - Muscles Fins - Style Variable (Rangers et Bonnet obligatoires) - Démarche Féline (roulement des hanches #tuelavirilité)
Son physique à tendance à attirer l'oeil. A quatorze ans, il atteint doucement le mètre soixante quatre. Pas grand pour son âge, mais pas petit non plus. Son poids rentre dans les normales, bien qu'il soit plus faible que la moyenne.
Sa mère lui à légué sa peau facilement bronzée d'Italienne. Aux moindres rayons du soleil, sa peau prend une délicate couleur d'été.
C'est aussi de sa mère qu'il tient ses yeux aux nuances chaudes, couleur Terre de sienne (un marron chaud aux nuances orangées et rouges), à l'aspect félin dût à leur forme en amande. Ses iris font souvent penser à la chaleur et à la douceur, chose dont il semble pourtant dépourvu à première vue.
En revanche, il a hérité des cheveux rebelles de son père, un Suédois aux rares cheveux d'ébènes, sûrement à cause d'une vieille racine Inuit. Ceux-ci sont quasiment impossible à dompter. Si bien qu'il ne prend souvent pas la peine de les toucher au levé du lit. Il a ce que l'on appelle, des bedhair. Le plus amusant, c'est sûrement que cela donne un certain charme à ses cheveux Noir de Jais, légèrement plus courts sur les côtés que sur le haut, retombant facilement sur l'une des faces de son visage, différente selon les jours, bien qu'ils commencent vraiment à être longs.
Mais aujourd'hui, il est habillé en civil.
Son bonnet adoré dont il ne se sépare jamais aplatit donc ses cheveux qui semblent pourtant toujours aussi indomptables. Il possède un style extrêmement variable mais ne se sépare jamais d'un bonnet, ou presque. Aujourd'hui, il porte un t-shirt rouge (imprimé en nuances de noir, gris et blanc d'une grenouille à lunettes de soleil) au col bateau noir trop grand pour lui avec un sweat bleu corbeau, la capuche retombant mollement dans son dos. Son jean noir bleuté retombe dans ses Rangers noires.
Il lui arrive aussi de porter des baskets et des bermudas. Mais il vient de Suède et n'a pas encore eu le temps de s'acclimater à Prismver.
Il fixe l'étui souple de sa basse, posée à ses côtés.
Mais il n'a pas envie de jouer tout de suite. Sa lourde valise, posée aux côtés de sa basse ne lui sert à rien dans ce genre de situation où l'ennui le tient dans ses griffes. Et quasiment tout les élèves sont en cours. Si bien qu'il se décide à faire quelques étirements.
Il avait pratiqué la gymnastique pendant de longues années, enfant. De se fait, il descend avec aisance en grand écart, s'ennuyant franchement. Sa souplesse lui permet même de transformer son grand écart en pont et de finalement se relever gracieusement. Ses muscles fins sont un atout pour supporter son corps à la croissance osseuse différente et douloureuse, effet secondaire de son cher pouvoir.
Même que ses besoins en lactose sont plus élevés ceux d'un gamin de cinq ans, soit beaucoup plus hauts que ceux d'un garçon de son âge.
Pour sa voix, que l'on a pas encore entendu, sachez qu'elle est encore enfantine mais masculine, sachant qu'il n'a pas mué. Il chante plutôt bien mais ne le fait que rarement, bien qu'il lui arrive de fredonner des chansons. Il n'aime, de toute façon, pas sa voix, pas assez grave et profonde à son goût. "Une voix de gamine" vous dira-t-il, bien que ce ne soit pas non plus le cas.
On l'appelle enfin pour se rendre dans le bureau devant lequel il attendait. Son regard vif se pose sur ses affaires qu'il attrape facilement. Il se dirige à l'intérieur tandis que l'on remarque que sa démarche de jeune ado' blasé à finalement quelque chose de félin et de gracieux.
Son dos, dans cette démarche, reste droit et non courbé comme celui de la majorité des adolescents.
La faute à sa souplesse ou aux années de danse ? Sûrement un peu des deux.
Tell me a funny fucking story.


Assis sur une chaise, devant le bureau, tu te demandes bien qui est la personne en face de toi. Si seulement tu avais été un peu plus attentif lors des présentations, te le saurais sûrement. Elle t'a demandé de lui raconter ton histoire et tu n'as pas envie de le faire. Pourtant, cette personne dont tu as oublié le nom finit par te convaincre de parler.

"Je suis né le 3 Novembre à Kiruna, en Laponie Suédoise. C'est une jolie ville minière de environ 18 000 habitants sédentaires et 24 000 qui défilent tout au long de l'année. " Tu soupire.

"Mes parents ce sont rencontrés pendant un voyage de mon père en Italie. Ils sont tombés amoureux l'un de l'autre et ma mère a décidé de le suivre en Suède. Mon père n'avait pas voulu rester en Italie. Il préférait la mine où il travaillait en tant qu'Ingénieur ou quelque chose du genre. "

"Ma mère est tombée enceinte quelques mois après qu'ils se soient installés dans l'appartement de mon père. On avait pas besoin de beaucoup de place après tout. Ma mère m'a donc donné naissance. Je n'ai pas de souvenir de cette époque, j'étais trop petit. Mais je sais que j'ai commencé à parler très tôt et de même pour marcher. Ma mère restait avec moi à l'appartement tandis que mon père passait parfois une semaine entière au fond de sa mine, sans nous voir."

"Lorsque j'ai eu trois ans, ma mère c'est inquiétée du fait que je n'ai pas d'amis à l'école. La maîtresse disait que j'étais timide mais ma mère n'y croyait pas. Alors, elle m'a inscrit à des activités qui me plaisait. Je faisais donc de la gym le lundi soir et de la danse le mardi soir. J'aimais bien cette époque. J'étais heureux et je faisais deux sports que je trouvais extraordinaire et que ma mère adorait. Elle avait été une patineuse de niveau national en Italie, si bien que je passais des Samedi extraordinaires à apprendre le plaisir de la glace. Je n'aimais pas l'école ni les gens. Mais je voulais que ma mère soit fière de moi."

"Puis j'ai grandit. Alors que je venais d'avoir six ans, ma mère est tombée malade. Gravement malade. Son corps, habitué au soleil et à la chaleur ne supportait plus le climat de la Suède. Si bien qu'elle à développé une maladie osseuse. Mon père était toujours autant absent et ma mère à commencé à me laisser seul pour aller passer parfois trois nuit d'affilées à l'hôpital. Pour éviter que je ne m'ennuis, elle m'a inscrit à deux sports de plus. Le Basket, que je pratiquais le mercredi après midi et le volley, que je pratiquais le vendredi soir et le samedi toute la journée."

"D'un côté, elle avait raison. Le sport me changeait les idées. J'ai continué ainsi jusqu'à mes dix ans. Alors que j'entrais en supérieur, elle à été condamnée à rester à l'hôpital. elle avait trop de mal à marcher sans avoir mal et était trop fatiguée pour s'occuper de la maison. J'avais déjà pris l'habitude de l'aider et je savais effectuer les tâches ménagères."

"Mon père ne venait quasiment plus à la maison ou restait enfermé dans son bureau, quand il n'était pas avec ma mère. Livré à moi même, j'ai commencé à me battre."

Tu prends soudainement une pause et inspire. Tu n'as pas honte de cette période. Mais tu n'aimes pas l'évoquer.

"J'allais souvent voir ma mère le soir et lui inventait des excuses bidons quand j'avais de bleus. Puis, j'ai presque cessé d'aller la voir. Plus je me battais, plus j'étais amoché et moins je voulais qu'elle me voit ainsi. "

"J'ai continué de monté en classe. J'étais premier et passais sans aucuns soucis mais les professeurs déploraient mon attitude. J'étais un peu comme un animal sauvage. On ne pouvait plus me toucher sans que je ne frappes en retour. J'allais avoir treize ans quand je me suis rendu compte que cela faisait sept mois que je n'avais pas vu ma mère..."

Tu déglutis.

"Je... J'ai décidé d'y aller sur un coup de tête, après un entraînement de Volley. Je m'étais battu plus férocement que d'habitude dans la journée et avait une joue bleue et coupée masquée par une compresse. Deux bandes barraient une balafre sur mon arcade et de multiples pansements et bandelettes recouvraient mes bras et genoux. Lorsque je suis entré dans la chambre, mon père n'était pas là. Il était encore à la mine."

"Je me souviens encore du hoquet de surprise de ma mère quand elle m'a vu. Et je me souviendrais toujours de son aspect à ce moment là. Je ne l'avais jamais vue aussi fatiguée. Jamais. Les cernes qui tiraient ses yeux la rendait fragile. Son corps était maigre et sa peau, autrefois couleur caramel, avait viré à l'aspirine. Ses cheveux auburns étaient ternes et seuls ses yeux vifs comme les miens me prouvait qu'elle était encore en vie."

Ta voix se fait ténue, fragile.

"Je me suis approché du lit. Elle m'a demandé ce qu'il se passait, si j'allais bien, comment c'était à l'école.... Mais je n'arrivais pas à répondre. Les mots restaient coincés dans ma gorge. Elle m'énervait. Oui, à ce moment, elle m'énervait. Elle était gravement malade et trouvait encore le temps de s'inquiéter pour un sale gosse comme moi."

"J'ai finit par craqué. Je lui ai demandé pourquoi elle s'occupait de moi alors que je n'étais pas venu voir ma propre mère pendant longtemps. Trop longtemps. Je lui ai craché à la figure que le garçon qu'elle avait tant protégé était devenu un enfoiré, un imbécile, tout ce qu'elle voulait mais pas son fils adoré. J'ai crié que je n'étais plus son fils."

"Elle m'a giflé. C'était la première fois depuis que j'étais né. Enfant, elle m'avait donné des tapes sur les doigts et les fesses mais jamais elle ne m'avait frappé. Et le pire, c'est que ça ne m'avait rien fait. Mentalement et physiquement. Elle était tellement malade que sa gifle m'avait paru être une caresse à côté des coups de mes bastons."

Tu passes ta main derrière ta nuque, dans un réflexe ancré par l'habitude.

"Je suis partis après lui avoir soufflé un pardon. Elle m'a dit d'attendre, qu'elle était désolée, mais c'était moi, celui qui était désolé. Ma mère n'avait même plus la force de remettre son fils unique à sa place."

Tu prends une pose de quelque minutes. Tes yeux redeviennent vifs et glacials, comme tu regardes désormais le monde.

"Deux jours plus tard, on nous annonçait son décès. En deux jours, son état, normalement stable, avait basculé. Les médecins avaient dit qu'elle avait déjà beaucoup lutté et qu'elle n'en avait plus la force. Qu'elle avait déjà vécu deux ans de plus que ce qu'ils lui avaient prédit. Mais je n'en avais cure. J'étais un gamin qui venait de perdre sa mère. Et la dernière chose que j'avais fait pour elle, s'était me pointé avec des bleus et une langue de vipère qui souhaitait cracher son venin sur le monde."

"Le mois qui à suivit, j'ai dût aller trois fois en cours. Une fois car on avait des examens. Une autre fois car on avait encore des examens et une dernière fois car il faisait trop froid pour traîner dehors."

"Les profs ne m'on rien dit. Ils m'ont juste dit que je pouvais leur parler si je voulais. Mais je ne voulais parler à personne. J'avais la haine contre le monde entier. Je ne comprenais pas pourquoi ma mère et pas celle d'un autre."

"Un matin, je fusillais carrément mon bol de lait du regard. Mon père n'était pas rentré depuis un mois et mais m'avait laissé assez d'argent pour en survivre encore deux sans lui. Je le haissais pour avoir rejeté la faute sur moi. Pour s'enfermer dans son chagrin au lieu de voir que j'étais toujours là moi."

Un ricanement sort de ta bouche et tu te détends enfin.

"En voulant me lever, j'ai basculer sur l'angle du plan de travail. N'importe qui se serait exploser le crâne avec un plan de travail en marbre. Mais moi, je me suis juste roulé par terre tandis qu'un magnifique bleu fleurissait sur le front. Je peux vous dire que ça m'a vraiment remit les idées en place."

"Je suis rapidement retourné en cours pour voir si on apprenait des choses de ce genre au collège, mais rien. J'ai eu beau cherché dans les livres, on ne parlait pas de tête ultra résistante. Tout indiquait que j'aurais dût m'exploser le crâne."

Un sourire malicieux glisse sur tes lèvres.

"J'ai commencé à m'entraîner tout seul. Mon père ne rentrait pas souvent et ne me voyait jamais. Souvent, je passais ma tête par l'encadrement de son bureau pour le voir plongé dans des calculs infernaux. Il avait oublié mon anniversaire. Mais, ayant trouvé une nouvelle occupation, j'arrivais à oublier."

"Dès que je rentrais à la maison après le sport, je m'entraînais sans répit. Et si, au début, j'arrivais seulement à durcir assez mon puce pour qu'il résiste aux coups de marteaux, j'ai finit par comprendre comment cela fonctionnait. J'étais pas Maso'. J'y connaissais rien, c'est tout."

"Pour être sûr de ma réussite, j'avais même écrasé un marteau sur mon bras."

Une grimace tord ton visage.

"N'essayez surtout pas. Même si ça ne casse pas un os, ça fait de sacré bleu et surtout très très mal."

Tu te mets à marmonner pour toi même sous le regard amusé de ton interlocuteur.

"J'étais quand même vachement stupide à treize ans..."

Reprenant le fil de tes pensées tu souris.

"A force de méditer, j'ai carrément compris que je pouvais faire sortir des os de mon corps. Et j'ai vite compris que, en fait, ce pouvoir, il n'était pas si cool que ça. Plusieurs, fois, j'ai cru que j'allais mourir alors que je faisais un effort trop important."

"Je me suis aussi rendu compte que je grandissais de plus en plus vite et que je me sentais mal si je ne buvais pas assez de lait ou ne mangeait pas assez des yaourts et fromages. J'ai compris que mes besoins en lactose devait augmenter à cause de mon utilisation fréquente de mon pouvoir. Mais il était hors de question pour moi d'arrêter de l'utiliser."

Tu te souviens avoir toujours été bien plus petit que la moyenne. Le médecin avait attribué ce retour à la normale à une poussée de croissance.

"Le jour de mes quatorze ans, je m'amusais à jouer avec un os de tibia dans la cuisine. Je m'en servais comme une épée. C'était amusant et divertissant. Cela me donnait une impression de joie, même si cela peut sembler légèrement glauque. Encore une fois, mon père allait resté enfermé dans son bureau à ruminer sur ses plans."

"J'y croyais tellement fort que, lorsque je me suis retourné vers l'entrée et que je l'ai vu, j'ai immédiatement relâché ma concentration et l'os que je venais de faire sortir de mon bras est tombé par terre dans un bruit sourd. J'étais sous le choc et lui aussi. Voyant l'heure, je me suis précipité vers l'entrée pour partir au collège, balançant les os dans la poubelle que j'avais installé sous la fenêtre, de nombreux mètres plus bas. Mon père c'est penché et à bien vu le nombre d'os qui encombrait la poubelle. Il a soupiré. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas entendu sa voix que j'ai eu envie de pleurer. Juste avant que je ne parte, il m'a dit que j'avais bien grandit."

"Ce jour là à été le meilleur de ma vie. Mon père est venu me voir à la fin du cours de gymnastique. J'étais le gosse le plus heureux du monde. Mon père ne m'avait même pas rejeté en apprenant pour mon pouvoir. Ce soir là, c'est lui qui à cuisiné en faisant des escalopes à la milanaise. Je m'en souviendrais toujours. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas goûté à un de ses plats que j'ai finit par pleurer en mangeant. Ses plats sont immangeables mais il avait fait ça pour moi, alors j'étais heureux."

"Ce soir là, il m'a dévoilé de nombreux aspects de sa vie que je ne connaissais pas. Mon père aussi possédait un pouvoir. Il avait la faculté de voir les couches de minerais et de savoir de quels minéraux était fait tout ce qu'il touchait. Il m'avait raconter ça après m'avoir emmené faire un tour à la patinoire, comme quand j'étais gosse avec maman. Je me souviens être aller me coucher, la tête pleine de rêve, chose qui n'était pas arrivée depuis longtemps. Alors que j'allais m'endormir, j'ai entendu la porte de ma chambre s'ouvrir. Une douce pression sur mon front m'avait rassuré et mon père m'avait soufflé tout bas une chose merveilleuse qui ne m'étais pas arrivée depuis longtemps."

"Joyeux anniversaire, Skugga Alejandro Evans..."

Le sourire gamin qui barrait tes lèvres s'efface.

"Le lendemain, il à envoyé une lettre à un vieil ami à lui. Il a dit que je ne pouvais pas rester comme ça et qu'il fallait que je sois encadré pour mieux cerner mon pouvoir. "

"Un mois plus tard, un homme est venu me chercher. Cela faisait à peine deux mois que j'avais conscience de mon pouvoir et je le maîtrisais déjà avec une agilité qui me déconcertait moi-même. J'avais pris seulement ma basse, que ma mère m'avait offert pour mes neuf ans, des vêtements, et le strict minimum. Mon père nous a accompagné jusqu'à l'aéroport. Il m'a promit que je serais bien là où j'irais. Que c'était un peu particulier mais qu'il y avait plein de personnes comme moi et que je n'aurais pas à me cacher pour m'amuser avec mon pouvoir. Il m'a aussi dit de faire très attention et de ne pas oublier de correspondre avec lui. Nous avions passé le mois ensemble à vivre comme un vrai père et on fils soudés le ferait."

"Le voyage m'a paru interminable, surtout que je n'avais jamais prit l'avion. Et réflexion faîte, je n'aimes pas ça."

"Quand je suis arrivé hier après trois affreuses longues heures de train, je suis tout de suite tombé amoureux de cet endroit. Il était tard, si bien que j'ai dormi chez mon accompagnateur, mais ça, vous devez le savoir."

Ton interlocuteur hoche la tête et t'invites à lui raconter ta journée. Tu hausses les sourcils.

"J'me suis levé tôt pour venir ici. J'ai vu des gens se jeter sur la tête dès qu'ils se voyaient, j'ai lu des annonces en attendant de me faire évaluer pour mon pouvoir, j'ai cassé le bras d'un délégué pour votre même évaluation avant qu'il ne tente de me faire de même. Heureusement que quelqu'un à put le lui réparer. J'ai aussi rapidement compris que les E, enfin, les rouge, je ne sais pas comment ils se surnomment, veulent renverser les A qui sont à la tête pour le moment."

Un sourire animal glisse sur ton visage.

"Je crois d'ailleurs avoir un faible pour la vision idéaliste des E. Ils sont mignons. Le monde est régit par les plus fort monsieur vous savez. Et part l'argent aussi. Tu es faible et pauvre, tu n'as aucune chance de renverser la situation et c'est comme ça. Mais ça à l'air amusant à regarder. Et puis je ne suis pas contre les privilèges dont je vais jouir d'ici peu..."

Tu échanges encore quelques paroles avec cet homme puis il te ramène à ton guide. Sur le chemin de ta futur pièce à coucher, tu tentes de retenir le sourire sauvage qui veut prendre place sur tes lèvres. Tu as omis de dire à ce si gentil homme que, grâce à cette guerre des classe, tu va pouvoir semer le bazar tout en gardant ta couverture de petit intello. Tu veux semer la zizanie sans que personne ne sache que tu es le coupable. Peu importe le camp. Tu n'as rien à faire de ses histoires de classe.
Tu ris doucement sous le regard interrogateur de ton guide. Tu lui fais un sourire amicale, lui disant que ce n'est rien, que tu as juste l'impression que tu vas te plaire ici.
Oh oui, tu vas t'y plaire...




Je préfère être détesté pour ce que je suis qu'être aimé pour ce que je ne suis pas.  Kurt Cobain
On a besoin de ses mains pour dire les choses que la paroles ne traduit pas. Anne Hébert
Là où il n'y a le choix qu'entre la lâcheté et la violence, je conseillerais la violence. Gandhi

PSEUDONYME
Kenma
AUTRES COMPTES ?
Nope, j'suis newbie 8D
AGE
16 ans 1/2, (c'est important !)
SEXE
*vérifie, à toujours des boobs* Féminin !
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?
En faisant le tri dans mes favoris que j'avais gardé il y a looongtemps quand j'avais encore le temps de rp. Après, ça à traîné pendant plus d'un an, je fais le tri et les trois quart des forums sont morts ou ne m'intéresse plus. Et là... prismver ! Mon second amour niveau forum ♥
AVATAR
Hiro Hamada - Big Hero 6  (Irl by Jin)
MOT DE LA FIN
Le forum à un design juste Wouaw et le contexte est carrément génial ! En plus il est évolutif donc les personnages peuvent changer (ce qui n'est pas le cas sur tout les forums). Que demander de mieux ?
CODE DU FORUM
Je l'ai toujours sût B)
Code par Nyan-cat sur Never-Utopia
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Skugga A. Evans

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